• 2015
    —2017
    Festival des Arts dans la Rue de Strasbourg Eurométropole
    Directeur Artistique
  • 2005
    —2016
    CIE OSMOSIS
    Co-production
  • 2003
    —2004
    Collaboration CIE Tandem avec Michèle Noir
    Chorégraphe
  • 2002
    Création « Les Ballets du Grand Maghreb »
    Chorégraphe
  • 1998
    CIE belge de Wim Vandekeybus/Ultima Theater
    Danseur

Ali Salmi, arrive un jour d’hiver 1989 à Nancy pour terminer ses études d’ingénierie et d’architecture.

La structure urbaine et historique le poussent à expérimenter un travail d’acteur corporel dans les lieux urbains  : place, rue, friche industrielle, pont. Après un bref passage à l’école de mimodrame Marcel Marceau, il découvre la danse contemporaine. Ses recherches sur un travail proche de la matière et des éléments l’amène vers la danse Buto et débouchent sur la naissance du collectif d’artistes OSMOSIS. D’abord un univers lié aux échasses, à l’imaginaire urbain et à diverses installations photographiques où il développe un théâtre physique pour ne retrouver que le corps. Depuis, dans le cadre de ce véritable laboratoire du mouvement et d’états de chocs, il travaille sur la recherche d’une danse engagée, physique, théâtrale, poétique et absurde autour de nos rites urbains.

Parallèlement, il collabore au processus de création de Katy Roulaud, Carole Seveno, et de la CIE ULTIMA VEZ/ Wim Vandekeybus (B) depuis 1998, en tant que danseur, à travers les spectacles « The day of Heaven & Hell » 98, « In spite of wishing & wanting... » 99 et « In as much the life is borrowed... 2000.

En mai 2001, au sein du territoire de création de Wim Vandekeybus, il crée en association avec Saïd Garbi (danseur non-voyant) et Georg Weinand (dramaturge, assistant au sein de Cie Ultima Vez), ES BALLETS DU GRAND MAGHREB : rencontre au sein de l’Imaginaire du Monde Arabe et Contemporain.

En 2002-2003, il rassemble au sein d’OSMOSIS Cie, une nouvelle équipe artistique internationale pour entreprendre d’explorer le territoire des parcours de vie, de la mémoire de l’autre à travers sa propre culture et son imaginiare du monde arabe.

Parallèlement à la diffusion des créations de la Cie Osmosis, ‘Le SILENCE des MEMOIRES’, ‘SILENCIO...’ & ‘FLESH’, il s’investit dans une collaboration artistique en tant qu’interprète pour la Cie Michel NOIRET-création mars 2004 ‘TERRITOIRES INTIMES’. Cette collaboration l’entraine plus loin dans la recherche sur la vidéo -entre documentaire et fiction- et ses différents temps d'images, -en direct et enregistrées-, ainsi que la recherche sonore dans l’espace offert par nos paysages urbains, ruraux, portuaires.

‘TRANSIT’, ‘FLESH’ pièces achevées en 2005/2006 confirment cette signature.

Les deux créations  ’WATERFLOOR’ et ‘AUTOROUTE DU SOLEIL’ pour la saison 2006/2007, poursuivent cette signature du ‘Sensible’, du ‘Réel’ et du ‘Corps’ dans l’espace public par l’intérêt porté des réseaux européens « In SITU », « MERIDIANS » plateformes Arts de la rue ainsi que divers festivals pluridisciplinaires et chorégraphique au national et à l’international.

 ‘ALHAMBRA CONTAINER’ However big their hopes & dreams may be…©2008 Ballet Corps/Voix/Machine Vidéo-Chorégraphique en espace public et sa forme réduite ©2010 enrichissent cette recherche d’écriture du ‘CORPS’ dans l’espace des Arts de la Rue à la taille d’une ville et de son audience et ouvre la Cie à une diffusion internationale vers d’autres continents  : Brésil –Saison culturelle Française 2009-, Corée du Sud, Maghreb, Europe.

Depuis 2010, Ali Salmi collabore directement avec les ‘témoins du réel’ - le photo reporter Patrick Chauvel, Irène Vervliet dame de 84 ans anversoise - et son équipe artistique & technique pour témoigner du monde et de ses états de tension à travers le corps  : ©2010-11 (DES)ASTRES DU MONDE OPUS n°1 - n°2

Depuis 2013, il entreprend un travail CORPS DOCUMENTS mêlant témoins du réel et danseurs/circassiens à l’élaboration de spectacle chorégraphique au cœur d’espaces publics portant sur la thématique de la main au travail de l’acier ( France-Corée du sud)  : ‘CATHEDRALE D’ACIER’ ©2013  et de la terre coréenne ‘A LA SUEUR DE MA TERRE’ ©2016.

Parallèlement, il poursuit son questionnement autour de la question des lieux où se produit la danse, et où on la regarde, avec un projet au coeur du Studio Chorégraphique La Radieuse Appt 122 - comme si Le Corbusier avait dédié un de ces modules de l'Unité d'Habitation de Briey à une compagnie de danse -, de la Cité Radieuse Le Corbusier Briey et de sa ville ; Rendez vous de formes chorégraphiques spectaculaires et sensibles pour une ville, ses habitants et ses visiteurs FROM A DANCE PLACE TO A PLACE TO DANCE...

Il est le Directeur Artistique du Festival des Arts dans la Rue de Strasbourg Eurométropole pour les édition 2015-16-17