Comédienne / Metteure en scène
  • 2019
    « La Passe »
    texte et mise en scène
  • 2017
    « Mayday » de Dorothée Zumstein
    comédienne, mis en scène par Julie Duclos
  • 2015
    « Nos Serments » de Julie Duclos
    comédienne - participation filmée
  • 2014
    « Femmes (d')intérieur » d'après Concert à la carte et Perspectives ultérieures, de Franz Xaver Kroetz
    comédienne et metteure en scène
  • 2014
    « King Kong Théorie » de Viginie Despentes
    metteure en scène

Vanessa Larré est née en Suisse à Genève où elle obtient un diplôme de l’école supérieur de commerce avant de fréquenter le Conservatoire d’art dramatique de la ville. En 1993, elle est reçue au CNSAD de Paris (1993-96). Elle poursuit une carrière de comédienne au théâtre, au cinéma et à la télévision de 1993 à 2010 avant de mettre en scène son premier spectacle « Concert à la carte » (2011) de Franz Xaver Kroetz, puis un second, le diptyque « Femmes (d’)intérieur » (2014), réunissant deux pièces du même auteur « Concert à la carte » et « Perspectives ultérieures ». À l’occasion de cette création, elle a été une artiste associée au CDN Orléans/ Loiret/Centre (2013-14).

En 2014, Vanessa Larré co-adapte et met en scène « King Kong théorie » de Virginie Despentes au Théâtre La Pépinière à Paris, diffusé au Théâtre National Populaire de Villeurbanne en 2017. La pièce est reprise du 25 mai au 31 décembre 2019 au Théâtre de L’Atelier à Paris. Parallèlement, elle participe dans le cadre des Chantiers nomades, à un cycle de formation en trois étapes avec le metteur en scène Krystian Lupa (2012 à 2015). 

Elle a enseigné le théâtre à Paris et à Orléans, collaboré à des actions menées par le collectif « Zirlib/Mohamed El Khatib » et animé un atelier en 2016 à la Maison d’arrêt pour femmes du Centre pénitentiaire de Saran en région Centre en collaboration avec le CDN d’Orléans. Elle a réalisé un court-métrage « À l’intérieur », à partir de ce travail en prison. Elle a co-écrit deux scénarios de long-métrage  : « Nachtzug » (qui a reçu le soutien de la fondation Beaumarchais) et « Voir le jour », un film de Stanley Woodward.