© Rodolphe Gonzalez

Metteur en scène
  • 2022
    « Le Bizarre » de Fabrice Melquiot
    metteur en scène
  • 2022
    « Vie et mort rien de rien » quatre textes de Beckett
    metteur-en-scène
  • 2021
    « Mélisande » d’après Maeterlinck et Debussy
    comédien
  • 2020
    « J'ai saigné » de Blaise Cendrars
    comédien et co-metteur en scène avec Jean-Christophe Cochard
  • 2019
    « Il va où le blanc de la neige quand elle fond ? »
    metteur en scène

Après une formation littéraire et musicale, Jean-Yves Ruf intègre l’Ecole nationale supérieure du Théâtre National de Strasbourg section jeu, puis l’Unité nomade de formation à la mise en scène, lui permettant notamment de travailler avec Krystian Lupa à Cracovie et avec Claude Régy à Paris. Il est à la fois comédien, metteur en scène et pédagogue.

Il œuvre en tant que pédagogue dans des écoles supérieures (La Manufacture de Lausanne, le CNSAD de Paris, l’école du TNS de Strasbourg, l’Estba-Bordeaux, la Westerdals Oslo School of Arts-Norvège). De janvier 2007 à décembre 2010, il a dirigé la Manufacture – Haute école des arts de la scène. Depuis 2011, il travaille avec les Chantiers Nomades, structure de recherche et de formation continue, en tant que programmateur et conseiller pédagogique. En tant que comédien, il a travaillé avec Jean-Louis Martinelli, Eric Vigner, Jean-Claude Berutti, Emilie Charriot, Simon Délétang, Richard Brunel. Il tourne actuellement un solo de Cendrars, « J’ai saigné ».

Parmi ses récentes mises en scène, on peut noter « Le bizarre » de Fabrice Melquiot (Théâtre Saint-Gervais Genève), « Il va où le blanc de la neige quand elle fond ? » (Petit Théâtre Lausanne / Théâtre du Loup Genève), « La vie est un rêve » de Calderon (Théâtre du Peuple – Bussang), « En se couchant il a raté son lit » d’après Daniil Harms co-mis en scène avec la metteure en scène Lilo Baur (TGP Saint-Denis), «La finta pazza » de Sacrati (Opéra de Dijon, Opéra Royal de Versailles), « Le dernier jour où j’étais petite » de Mounia Raoui (TGP), « Les fils prodigues » (Diptyque Conrad/O’Neill au Maillon Strasbourg), « Médée » de Cherubini (Opéra de Dijon).